LES FILS DE LA DESTINEE

Les fils de la destinee

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Sous le soleil brûlant de Persépolis, une féminité faisait danser ses soi sur un travail à amplifier, nouant et entrelaçant les fils avec une rigueur infinie. Son fabrique, basé au cœur de la ville, attirait les plus grandes familles de l’Empire. Les étoffes qu’elle confectionnait ne se limitaient pas à l'Élégance ; elles étaient des reflets de la destinee. Chaque intention tissé renfermait une axiome occulte, une destinée que seuls les personnes susceptibles de pouvoir lire les signes avaient l'occasion de mêler. La voyance médium sérieux par téléphone permettait à certains d'obtenir des guidances instantanées, mais ici, le temps du cours était celui de la casse-tête, de l’attente du message que l'horizon aimerait correctement révéler. Les fils d’or couraient entre ses mains, traçant des arabesques ésotériques sur la soie. Chaque entrelacement était un fragment du futur texte dans la trame du monde. Ceux qui croyaient en son art venaient planter son rudimentaire avec une épouvante respectueuse, car pas de raison ne naissait sans intention. Un personnalité répété signifiait un appel, une torsion du cours une hésitation du futur. La voyance sérieuse au téléphone pouvait diffuser de quelques prévisions venues de voix surnaturels, mais elle savait que son ivresse, lui, s’inscrivait dans la façon, par des lignes que individu ne pouvait renaître. Un naissance, une devis transport dévastatrice lui fut adressée : une rideau futur au prince héritier de l’Empire. Un tissu d’apparat, personnalisation de le naissance d'après règne. Dès qu’elle posa les main sur les fils, elle sentit une étrange tension, comme si le tissu résistait, refusant de s’ordonner sous ses déplacements. Les fils d’or, d’ordinaire dociles par-dessous ses toi, semblaient s’échapper, réalisant des coloris qu’elle ne maîtrisait pas. Un personnalité apparut dans le tissage, un modèle qu’elle n’avait jamais vue avant tout. Elle hésita, enviable de recréer la maîtrise de son travail manuel, mais l’image s’imposait. Lorsqu’elle recula, contemplant son œuvre, un frisson la traversa. Au cœur du tissu, tissé au niveau des arabesques dorées, une représentation noyer était parvenue : celle d’un espèce humaine couché sur le sol, transpercé par une lame. Elle se rendit compte immédiatement de quoi il s’agissait. Le futur du prince venait d’être composé dans le fil d’or. Et il annonçait sa délicat.

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